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Agir au bureau comme à la maison

Au bureau comme à la maison, nous avons besoin de nous chauffer, de nous éclairer, de nous équiper (en fournitures, en mobilier…). Nous avons donc besoin d’énergie et de matières premières. Nous savons tous aujourd’hui que leur consommation n’est pas sans conséquences pour notre environnement.

Comment faire pour réduire nos consommations ?

Dans la vie quotidienne, nous adoptons déjà des comportements qui per- mettent d’économiser l’énergie et les ressources, de trier les déchets… La première motivation est souvent la diminution des factures, en particulier les factures d’énergie!

Au bureau se présentent sans arrêt des occasions de consommer de l’énergie, produire des gaz à effet de serre, des déchets, des polluants… mais aussi de prendre en compte la protection de l’environnement.Y appliquer les mêmes principes qu’à la maison est tout aussi nécessaire : nous y passons beaucoup de temps, nous y sommes actifs et nous sommes nombreux à le faire.

La motivation du personnel, un moteur essentiel

Comment adhérer aux actions de réduction des impacts environnementaux des activités de bureau et rester motivé dans la durée ?


En commençant par des actions simples, en constatant que les gestes positifs payent et ont une réelle influence. Ainsi, les employés peuvent se renseigner sur les chiffres des principales consommations (ramettes de papier, électricité, eau…). En le rapportant au nombre de salariés, chacun mesurera concrètement ses consommations.

Ce type d’action peut venir d’une personne, d’une équipe, d’un service… Ces petites initiatives montrent que les habitudes et les comportements peuvent changer et que même des gestes modestes peuvent être ef caces. C’est un bon début pour se lancer dans des actions plus ambitieuses.

Des pistes pour s’investir

Où et comment agir ?

En image, les cibles privilégiées pour agir efficacement

Aider la planète depuis son bureau

Chaque année, un salarié jette en moyenne 75 kg de papier. « Cela équivaut à deux arbres et 220 litres d’eau », pointe Sophie Mallau. Pour enrayer ce gouffre écologique, elle vient de créer avec une autre Azuréenne, Stéphanie Monnot, la deuxième franchise d’EasyTri.

Née à Toulouse, l’entreprise désormais implantée dans les Alpes-Maritimes, aide les sociétés dans la gestion de leurs déchets de bureaux. « Chaque mois, on les récupère, on les pèse puis on les fait partir en filière de revalorisation ou en recyclage », détaille Stéphanie Monnot.

Loi de transition énergétique

EasyTri Côte d’Azur a distribué des contenants aux dix entreprises pour lesquelles elle garantit la gestion des déchets. Sans bouger de leur bureau, les salariés pourront y jeter leurs papiers, cartouches d’encre, gobelets, capsules de café, piles, ampoules, stylos… surtout sans se tromper de boîte. Mis à part ce geste du salarié, les entreprises ne s’occupent plus de rien. « C’est un service clé en main puisque l’on se charge de la récolte des boîtes et de leur transport vers les filières de tri », insiste Sophie Mallau.

Un service facturé à partir de 35 euros. Mais les entreprises devront bientôt toutes se plier au tri sélectif, via une entreprise comme EasyTri ou d’elle-même. Si les administrations publiques doivent effectuer le tri à la source depuis le 1er juillet dernier, l’ensemble des entreprises privées de plus de 20 personnes est concerné à l’horizon 2018, dans le cadre de la loi de transition énergétique.

500 kg de marc de café recyclés

Depuis six mois, EasyTri Côte d’Azur a déjà récolté 620 kg de gobelets, 24 kg de cartouches d’encre, 36 kg de piles, 500 kg de marc de café et 500 g de stylos dans dix entreprises azuréennes. Mais la route est encore longue pour faire du tri un réflexe au bureau ou devant la machine à café, sachant que « sur le million de gobelets utilisés en France chaque jour, seuls 2 % sont recyclés », rappelle Stéphanie Monnot.

Tri des déchets de papiers de bureau : de nouvelles obligations pour les professionnels

À partir de juillet 2016, les professionnels qui, par leur activité, produisent des déchets de papiers de bureau doivent les trier à la source et organiser leur collecte séparément des autres déchets pour permettre leur valorisation, s’ils ne sont pas traités sur place.

S’ils ne procèdent pas eux-mêmes à la valorisation de ces déchets triés, ils doivent les céder soit à l’exploitant d’une installation de valorisation, soit à un intermédiaire assurant une activité de collecte, de transport, de négoce ou de courtage de déchets en vue de leur valorisation.

Sont concernés par cette obligation les détenteurs de déchets qui n’ont pas recours au service de traitement des déchets assuré par une collectivité locale ou, pour ceux qui y ont recours, qui gèrent plus de 1 100 litres de déchets par semaine.

Les déchets concernés sont les déchets :

  • d’imprimés papiers,
  • de livres,
  • de publications de presse,
  • d’articles de papeterie façonnés,
  • d’enveloppes et de pochettes postales
  • de papiers à usage graphique.

Les établissements regroupant moins de 20 personnes ne sont pas soumis à l’obligation de tri sélectif et de recyclage.

L’entrée en vigueur de cette nouvelle obligation est échelonnée en fonction des effectifs de chaque établissement.

Si plusieurs producteurs de déchets de papiers de bureau sont installés sur une même implantation et sont desservis par le même prestataire de gestion des déchets de papiers de bureau, le nombre de personnes s’entend comme le total des personnes regroupées sur cette implantation.

Avant le 31 mars de chaque année, les exploitants d’une installation de valorisation (ou les intermédiaires) doivent délivrer aux producteurs de déchets de papier, de métal, de plastique, de verre et de bois leur ayant cédé des déchets l’année précédente une attestation mentionnant :

  • les quantités exprimées en tonnes,
  • la nature des déchets qui leur ont été confiés l’année précédente en vue de leur valorisation,
  • leurs destinations de valorisation finale.

Cette attestation peut être délivrée par voie électronique.

 

Pour en savoir plus : code de l’environnement

EASYTRI Toulouse reçoit le Trophé coup de coeur de l’Alternance

Pour la 5ème année consécutive, la CCI Midi-Pyrénées et le Medef Midi-Pyrénées ont co-organisé les Trophées de l’Alternance, et récompensé dix entreprises de la région.

Les trophées de l’Alternance récompensent les entreprises qui s’appuient sur l’alternance pour promouvoir leur activité et développer leur attractivité, qui favorisent l’intégration des jeunes, et qui, en parallèle, encouragent leurs salariés à s’investir dans le tutorat.

Trois trophées « coup de cœur » ont été décernés aux entreprises :

  • Easytri (Gestion des déchets de bureau non dangereux)
  • Thales Cryogénie (équipements)
  • Deca Propreté (propreté)

Dans la catégorie « petites entreprises » ont été récompensées les entreprises :

  • Airborne (ingénierie),
  • Espace Vital (restauration)
  • ATM Diffusion (commerce)

Dans la catégorie « entreprises moyennes » ont été mises à l’honneur l’entreprise :

  • TAPIE Diffusion (Commerce de détails de sport)
  • Palmieri Mécanique (industrie)
  • Gascoges (expertise comptable)
  • Ecureuil Multicanal (centre de relations clientèle).

Dans la catégorie « grandes entreprises », ce sont l’entreprise :

  • Easydis (logistique),
  • Les Terroirs de Plantaurel (agro-alimentaire)
  • Bosch (industrie automobile)
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