Afin d’aider les Français à poursuivre leur mobilisation sur la bonne voie d’une consommation plus responsable autour des « 3R » : Réduire, Réutiliser et Recycler , le ministère de la Transition écologique, l’ADEME et 12 éco-organismes, dont Corepile, déploient cette campagne autour d’un film et d’activations digitales, afin de montrer que consommer mieux c’est possible, le tout sur un ton positif et engageant.
Du 11 janvier au 11 avril le film #LesBonnesHabitudes sera diffusé sur les réseaux sociaux, des plateformes spécialisées et via les replay des grandes chaines. Des relais digitaux sont prévus grâce à la mobilisation de plusieurs personnalités du web.
Visitez le site de la campagne
www.lesbonneshabitudes.gouv.fr
Le 27 juillet 2018 a eu lieu la journée RSE organisée par le groupe Pichet pour l’ensemble de son personnel. Cette journée, organisée chaque année, a permis à tous les collaborateurs du groupe de se consacrer entièrement au tri de leurs archives et au rangement de leur bureau.
Objectif clairement affiché : éliminer et recycler tout ce qui était obsolète, archiver tout ce qui devaient être préservé. L’implication de tous a été salué par l’équipe dirigeante et un repas festif à lancer le début du Cleaning Day.
Les avantages après ce type d’opération
Durant cet après-midi festive, EasyTri a présenté les outils de tri qui seront mis en place au sein du siège du groupe dès le mois d’aout.
- Noms & prénoms…
Les bonnes réponses
Composition des prix : (un Porte-carte Victoire Daumont (Maroquinerie Fondaudège) ; une boite cloche luxe cosmétique Bio Océopin (Cap Ferret) ; un confit de vin de sauternes Gondolo 50g (Sud Gironde) ; une confiture Gondolo 50g ; 2 bières Azimut (Brasserie de Bacalan) ; 1 verrine de Tchitchons nature (Ferme de Queyran -Sud Gironde) ; 1 verrine de Tchitchons au foie gras (Ferme de Queyran -Sud Gironde) ; un sachet de 6 chocolats en ganache (Chocolaterie Xavier Lalère – Fondaudège)
Les suggestions des équipes collectées lors de cette journée pour un mieux « travailler ensemble »
1. Avoir une vraie politique de traitement des déchets et d’économies d’énergie
2. Arrêter la climatisation et éteindre la lumière en plein jour
3. Éteindre les lumières la nuit
4. Sensibiliser aux économies d’énergie : éteindre la lumière des toilettes
Belle initiative, merci !
« En 2017, la consommation de l’humanité dépasse de 70% les ressources disponibles »
Le « jour du dépassement de la Terre » intervenait :
A chaque dépassement l’humanité vit à crédit, la Terre ayant épuisé les ressources naturelles qu’elle peut renouveler en un an, calculs de l’institut de recherches Global Footprint Network.
Aujourd’hui le monde fonctionne sur un système économique dit linéaire. Pour présenter les choses simplement, nous extrayons, nous utilisons, nous rejetons. Evidemment, ce système n’est pas durable.Dans cette équation, on ne prend pas en compte la finitude des ressources extraites.
Mais cela ne peut pas fonctionner indéfiniment. Lorsque l’on étudie les ressources non renouvelables dans la croissance économique, il apparaît très vite que sans un changement de paradigme l’épuisement des ressources risque de nous causer beaucoup (vraiment beaucoup) de problèmes.
En effet si l’on prend l’hypothèse d’un rythme de croissance constant à 3,5%, on estime que la totalité des ressources (c’est-à-dire les gisements connus et exploitables dans des conditions acceptables) sera épuisée d’ici 2080.
Au-delà de cette échéance, nous devrons creuser très profondément dans la croûte terrestre pour satisfaire nos besoins, ce qui implique que nous aurons besoin d’encore plus d’énergie pour atteindre les gisements. Il se dessine alors très clairement un cercle vicieux ou l’épuisement des ressources s’accélère.
Un changement de conception économique est plus que jamais nécessaire. La solution apparaît dans une économie dite circulaire où cette fois nous extrayons, nous utilisons et nous réutilisons. Le recyclage permet alors de satisfaire la majeure partie de nos besoins.
Les progrès techniques en matière de valorisation des déchets et de la matière en général offrent un fort potentiel de réintégration de la matière dans le cycle économique avec le moins de pertes possible.
En recyclant à 80%, on divise par 5 les quantités prélevées en milieu naturel. Mais, si l’on garde une croissance d’environ 3%, 80% de recyclage ne suffiront pas. En effet, le recyclage (80%) n’aurait que pour effet de faire gagner du temps puisque nous aurions toujours besoin de 20% de ressources naturelles pour remplir nos objectifs de croissance.
Aujourd’hui, si l’on voulait efficacement repousser les échéances, la croissance ne devrait pas dépasser la barre des 1%. Cette nouvelle échéance nous donne du temps, mais nous ne devons pas nous en satisfaire, car irrémédiablement les ressources finiront par s’épuiser.Une économie durable est censée nous faire gagner au moins un siècle, le temps que de nouvelles générations naissent et adaptent l’économie. Le recyclage apparaît donc indispensable à court terme certes, mais plus encore à long terme comme solution pour décaler l’épuisement des ressources.
Ce recyclage, puisqu’il induirait de réutiliser la matière nous permettrait aussi de réduire nos besoins et donc la production de ressources et d’énergie.
Dès lors, l’économie circulaire semble être la solution. En permettant à la matière d’être réinjectée dans le cycle économique, nous laissons tranquilles les ressources enfouies permettant ainsi d’éviter les rejets nocifs ou un surplus de matière. Recycler permet à la fois de faire des économies et de ne pas avoir d’effet nocif sur l’équilibre planétaire (notamment avec des émissions de CO2).
Les avancées techniques, mais plus encore la montée d’une conscience durable permettent aujourd’hui d’envisager l’économie circulaire comme véritable solution pour l’avenir. Les gens ne veulent plus d’un bien s’il est nocif pour leur environnement. La hausse des problèmes de santé et celle de la rareté de certains matériaux participent à la volonté de changer de paradigme.
Avec l’explosion démographique et l’émergence de nouveaux géants économiques, l’impact de l’humanité sur l’environnement augmente régulièrement. À tel point qu’on entrevoit l’épuisement de certaines ressources naturelles, renouvelables et non renouvelables.
Depuis 1995, tous les producteurs de déchets d’emballages sont soumis à l’obligation légale de trier et faire valoriser leurs déchets d’emballages, sauf si ils en produisent moins de 1 100 l/semaine et qu’ils sont collectés par le Service Public (décret n°2016-288 du 10 mars 2016).
Cette obligation de tri et de valorisation est étendue à 5 flux à partir du 1er Juillet 2016 : papier/carton, métal, plastique, verre et bois (décret n°2016-288 du 10 Mars 2016).
Toute implantation produisant ce type de déchets est tenue de les trier et de les valoriser, sauf celles produisant moins de 1 100 l de déchets / semaine collectés par le service public.
Par implantation, il faut entendre une entité ou plusieurs entités partageant le même service de collecte (hors ménages).
Il est possible de laisser un ou plusieurs de ces flux en mélange entre eux si le prestataire de traitement assure leur tri ultérieur et leur valorisation.
Le prestataire de traitement fournit annuellement une attestation au producteur de déchet mentionnant la quantité et la nature des déchets qui lui ont été confiés pour valorisation.
Concernant les papiers de bureau (les déchets d’imprimés papiers, de livres, de publications de presse, d’articles de papeterie façonnés, d’enveloppes et de pochettes postales, de papiers à usage graphique), l’obligation est plus étalée dans le temps. Elle est également définie par implantation.
fonction professionnelle impliquant normalement la production de déchets de papier de bureau, liste de 16 catégories de professionnels définies dans l’arrêté du 27 avril 2016, dont les artisans, les commerçants, les professions libérales, les cadres et employés techniques et administratifs des entreprises, les cadres et les agents de la fonction publique.
Pas forcément !
Trier ses déchets, c’est pouvoir négocier avec son ou ses prestataires de traitement des coûts de prestation plus bas, voire des recettes pour certains déchets (métal par exemple).
C’est aussi prendre conscience de la quantité de déchets générés et identifier des pistes de réduction des déchets. Les économies sont alors encore plus grandes puisque la facture de gestion est réduite mais également les factures d’achat de matières premières !
49 entreprises témoins, suivies par l’ADEME, démontrent que la mise en place d’actions simples sur les matières et les déchets peut apporter un bénéfice économique : elles économisent au total 1,8 M€ par an ! Elles prouvent aussi qu’il ne faut pas s’arrêter au seul tri, puisque 82% des économies réalisées sont faites grâce à la réduction à la source des déchets.
Retrouvez leurs actions sur le site Internet de l’ADEME.
Trier à la source permet de mieux valoriser les déchets et de les transformer en ressources.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
6 pages pour comprendre l’obligation de tri et agir !
Le saviez-vous ?
Un filtre de cigarette est une fibre de plastique contenant plus de 2500 substances chimiques (Benzopyrène, Chlorure de vinyle, Mercure,Arsenic,Méthanol, insecticide, Goudron,Plomb…).
Il n’existe pas encore de filtres de cigarettes biodégradables.Ils sont donc ensuite incinérés dans les centres de traitement des déchets, ou, dans une infime minorité des cas, recyclés. Jetés dans la nature, ils terminent leur course dans les rivières et les océans.
40% des déchets en mer Méditerranée sont des mégots, un mégot peut polluer jusqu’à 500L d’eau.
Notre collecteur pose clop’
En France, 40% de la population active fume.
EASYTRI a adapté son offre à tous les volumes de consommation et tous les budgets avec une avec une offre à partir de 40€ HT/mois. Nous proposons des collecteurs de mégots de différentes tailles en fonction des entreprises.
MEGOT QUIZZ
Sont concernées, toutes les personnes ayant une activité économique locale (entreprises, collectivités territoriales, écoles…) dont l’implantation regroupe plus de :
Les dispositions s’appliquent à compter du 1er juillet 2016, aux administrations publiques de l’Etat et établissements publics de l’Etat, sur chacune de leurs implantations regroupant plus de 20 personnes.
Les personnes dont l’implantation regroupe moins de 20 personnes sont quand même soumises à l’obligation de tri des déchets de papiers à la source si :
Les entreprises productrices ou détentrices de déchets devront pouvoir justifier que les flux ont bien été séparés et valorisés. Pour cela, elles devront obtenir des justificatifs des déchets cédés (quantité, nature des déchets confiés) auprès de leurs exploitants d’installation de valorisation ou intermédiaires.
Les justificatifs concernant les déchets traités en année N, devront leur être remis avant le 31 mars de l’année N+1.
Cette journée a été promulguée par le PNUE, comprenez le Programme des Nations Unies pour l’Environnement.
Elle est célébrée depuis de nombreuses années et soulève régulièrement les questions essentielles de la protection de l’environnement et ses conséquences sur la qualité de vie des populations et la survie de notre planète.
Le PNUE a établi une liste de points noirs sur lesquels un effort important doit être entrepris de toute urgence.
Le constat du PNUE est sévère, car peu de ces objectifs ont été atteints et le cri d’alarme lancé à l’occasion de la conférence RIO + 20 paraît désespérer !
Le développement économique est souvent pointé du doigt par les instances internationales qui tentent de promouvoir un développement raisonné respectueux de la planète. Notre fameux développement durable…
Le décalage entre les pays dits développés et les pays en voie de développement est criant. Si les économies européennes prennent de plus en plus en compte ces problématiques dans leur développement, que dire d’une économie US encore très en retrait sur toutes ces questions et celle de certains pays du sud-est asiatique où ces recommandations sont surtout l’expression de l’égoïsme des pays riches.
Le message envoyé par Irina Bokova, la directrice générale de l’UNESCO, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement 2012, est riche de promesses : « Nous voulons un avenir où nous pourrons vivre dans un environnement sain en entretenant des liens solides avec la nature et des relations sociales riches et diversifiées. Pour cela, nous devons créer un environnement florissant. Nous devons créer des économies vertes« .